Action Note Blanche

La blogosphère tunisienne sous les fleurs !

Depuis quelque temps, la qualité des articles que propose GlobalNet me surprend d’une agréable manière! Il y a un mois, déjà, un article sur la démocratie en Tunisie - dont un bloggueur avait parlé- avait provoqué beaucoup de commentaires et de réactions sans langue de bois aucune !! D’ailleurs, ma première réaction était de l’enregistrer sur mon PC pour en garder la trace tellement j’étais sûr qu’il allait être censuré ! Réflexe !! ;)

Cette fois-ci, il s’agit d'un sujet moins « délicat » : c’est un article sur la blogosphère et qui a pour titre « Blogs - Censure, connais pas » !

Cet article fait chaud au cœur car il vient en contre-pied à toutes les âneries qu’on a pu, dernièrement, lire - et pour d’autres subir- sur la blogosphère ! En effet, Chiraz Kefi, dans son article, ne tarit pas d’éloges en évoquant la blogosphère tunisienne : « Avec plus de 300 blogs tunisiens, écrit elle, l’actualité nationale arrive au premier rang pour ce qui est de leurs préoccupations. Rien ne leur échappe et pour preuve …». Là, elle cite l’exemple de quelques blogs comme ceux de Tarek Cheniti, Boudourou, Amine et l’incontournable BTB ! «le blogging, selon elle, constitue une sorte de media parallèle aux médias reconnus » et même un sérieux concurrent puisque les bloggeurs, écrit-elle encore, «n’y vont pas par quatre chemins, pour critiquer les professionnels du métier » !!

C’est un article que j’ai trouvé, différent, intéressent et que je vous invite à lire !

http://www.globalnet.tn/index.php?option=com_content&task=view&id=4158&Itemid=325

Le temps d’une Vie

Une rangée de longs cyprès qui longent la route, un homme avec burnous pédalant sur sa vieille bicyclette, un grand cours d’eau qui traverse la plaine, un berger guidant avec son bâton un troupeau de moutons, des bandes de figues de barbarie qui pointe leurs épines, d’énormes collines qui se dressent à l’horizon ornées de bandes multicolores, un groupe d’oiseaux qui dessine des acrobaties dans le ciel, une paysanne qui court derrière son âne en fuite, un champ d’oliviers tapissé de vert, des vaches qui regardent passer le train, des hommes avec des sacs blancs en train de répandre des grains de blé, un nid de cigogne sur un poteau d’électricité, un petit cimetière, un tracteur qui dessine des formes géométriques sur le sol, un petit village endormi, des gens assis et qui attendent, une gare, le train s’arrête… le train repart…ce n’est pas là que je descends !

Le train continue sa route, les paysages continuent à défiler à grande vitesse et moi je ne trouve pas le temps d’écrire, je ne trouve pas les mots pour décrire ce que je vois, le sentiment que provoque chez moi la beauté du paysage… c’est normal… on ne s’invente pas poète ou écrivain ! J’ai juste le temps de regarder, d’apprécier, un moment, et c’est déjà passé, c’est déjà derrière, c’est déjà du Passé ! Impossible de revenir en arrière, le train continue sa route, de nouveaux paysages défilent, une gare, le train s’arrête… c’est là que je descends !

C’est fini !

Il est bête ou complètement stupide?

Y a-t-il une limite à la bêtise humaine ? Je ne crois pas... En voici une preuve!

Une petite histoire enregistrée dans un service Hotline d'assistance :

Hotline : Ridge Hall computer assistant ; que puis-je pour vous ?
Client : Et bien j'ai un problème avec WordPerfect.
H : Quelle sorte de problème ?
C : Et bien j'étais en train de taper et soudain tout est parti.
H : Parti ?
C : Ca a disparu.
H : Mmm. Et à quoi ressemble votre écran à présent ?
C : A rien.
H : A rien ?
C : Il est vide ; il se passe rien quand je tape.
H : Vous êtes toujours dans WordPerfect ou vous en êtes sorti ?
C : Comment je sais ?
H : Pouvez-vous voir le prompt C:? à l'écran ?
C : C'est quoi un "prompte-ce"
H : Laissez tomber. Pouvez-vous bouger le curseur à l'écran
C : Y a pas de curseur. Je vous ai dit, il se passe rien quand je tape.
H : Est-ce que votre moniteur est allumé ?
C : C'est quoi un moniteur ?
H : Le truc avec l'écran qui ressemble à une télé. Est-ce qu'il y a une petite lumière qui vous dit qu'il est allumé ?
C : Je ne sais pas.
H : Et bien regardez à l'arrière de votre moniteur et regardez ou va la prise de courant. Vous pouvez voir
C : Je pense...
H : Bien ! Suivez le cordon jusqu'à la prise, et dites-moi si elle est branchée.
C : Oui.
H : Derrière le moniteur, avez-vous remarqué qu'il y avait deux câbles branches à l'arrière ?
C : Non.
H : Et bien il y en a deux. regardez à nouveau et trouvez le deuxième.
C : ..Oui, c'est bon.
H : Suivez-le et dites-moi s'il est solidement branche à l'ordinateur.
C : Je ne peux pas l'atteindre.
H : Oh. Pouvez-vous le voir ?
C : Non.
H : Même en vous penchant ou en vous mettant à genoux ?
C : Oh non, c'est juste que je n'ai pas le bon angle, il fait si sombre.
H : Sombre !
C : Oui, le bureau est éteint, la seule lumière vient de la fenêtre.
H : Et bien allumez la lumière.
C : Je ne peux pas.
H : Pourquoi ! ?
C : Parce qu'il y a une panne de courant.
H : Une panne... Ah ! Voila la raison. Est-ce que vous avez encore les manuels et les boites et l'emballage que vous avez eus avec l'ordinateur ?
C : Heu... Oui, c'est dans le placard.
H : Bien ! Allez les chercher, débranchez votre système, emballez-le comme c'était quand vous l'avez eu. Et apportez-le au magasin ou vous l'avez acheté.
C : Vraiment ? C'est si sérieux ?
H : J'en ai peur.
C : Et qu'est-ce que je leur dis ?
H : Dites-leur que vous êtes trop con pour posséder un ordinateur.

Le type de la hotline a été renvoyé.

Mais franchement n'auriez-vous pas répondu la même chose?!!!

Le cheval et le mouton...

En attendant un post plus sérieux...

Un fermier trouve son cheval malade. Il fait venir le vétérinaire.

Ce dernier lui dit que le cheval est infecté par un virus et qu'il va prescrire un remède. Si le remède n'a pas agi dans les trois jours, il faudra abattre le cheval pour éviter d'infecter les autres animaux.

Le mouton de la ferme, qui a tout entendu, va trouver le cheval et lui dit: «Fais un effort, lève-toi»

Mais le cheval est trop malade. Le deuxième jour, même chose, le mouton dit au cheval : «Fais un effort, lève-toi ». Mais le cheval est encore trop malade.

Le troisième jour, le mouton dit : «Fais un effort, lève-toi, sinon ils
vont t'abattre aujourd'hui.»
Le remède n'a toujours pas fait d'effet, mais dans un dernier sursaut, grâce aux conseils du mouton, le cheval arrive à se lever devant le fermier et le vétérinaire.

Le fermier, tout content, dit : « Pour fêter l'événement, on va tuer le Mouton ».

Moralité : Ne te mêle jamais de ce qui ne te regarde pas...

"Je donnerais jusqu‘à dernière goutte de mon sang pour venger mon père"

Ce texte a été publié en premier par Ulyssen. Soyons nombreux à le faire. Luttons tous ensemble contre la corruption, l'indifférence et l'oubli!!
A toi Emna...

4o jours, déjà

"40 jours que le sol s’est craquelé pour que tu reposes dans ton tombeau d’asphalte, ce tombeau des hommes, creusé par la main de l’homme.

Avant de connaître la sérénité de la terre, tu as été englouti dans l’antre des bêtes féroces et cupides !

40 jours et 40 nuits durant lesquels le souvenir vivace de tes sourires et de tes gestes me hantent et me torturent.

Souvent, il me semble entendre le tintement de tes clefs, ta voix de ténor, si unique, qui berçait nos journées ou encore une de tes blagues sans pareilles qui déridaient même les plus récalcitrants. Mais ce ne sont hélas que des réminiscences d’un passé à jamais révolu.

Pourquoi ? Parce que l’incompétente et la corruption règnent en maîtres dans notre cher pays.

Un père de famille n’est plus. Un homme d’exception, qui a marqué tous ceux qui ont croisé sa route.

Il a vécu, construit, éduqué merveilleusement ses enfants pour finir dans un trou !!

Est-ce cela inquiète quelqu’un ? Non bien sûr, les responsables dorment paisiblement, satisfaisant leur cupidité sans bornes.

S’ils oublient, moi je n’oublie pas et je donnerais jusqu‘à dernière goutte de mon sang pour venger mon père.

A ceux qui soutiennent que c’était la volonté de dieu, je répondrais que la main de l’homme n’en ai pas moins responsable.

J’aimerais pouvoir étreindre le feu ardent qui me consume chaque jour, mais il est en moi, pour toujours.

J’écris pour qu’on n’oublie pas cet homme exceptionnel, ce rayon de soleil, cet ange parti trop vite.

Des enfants, des hommes, des femmes sont partis durant cette journée noire, emportant avec eux leurs projets, leurs histoires, leurs secrets.

Pour la dignité du genre humain (si elle existe !!), ayons une pensée pour ces martyrs et essayons d’éviter d’autres catastrophes à l’avenir. "

A voir aussi: "Catastrophe... pas naturelle"

Un pseudo peut en cacher un autre...

Je ne crois pas que cette photo « choc » puisse laisser indifférent…

Elle a été publiée par Action Innocence France, une Organisation Non Gouvernementale, qui contribue à préserver la dignité et l'intégrité des enfants sur Internet.

C’est dans le cadre de sa mission de prévention et de ses campagnes de sensibilisation du grand public qu’elle a publié, en 2005, cette photo sous le thème «Le Masque» et avec le logo : «un pseudo peut cacher n'importe qui, soyez vigilant sur Internet».

Cette compagne a pour but de prévenir les enfants, les adolescents et les parents contre les dangers d’Internet en montrant comment une personne mal intentionnée peut très bien se faire passer pour un enfant ou un adolescent cherchant de nouvelles amitiés, voire plus...

Malheureusement plusieurs enfants et adolescents, en France et partout dans le monde, tombent dans ce piège et subissent, chaque jour, des agressions ou des sévices sexuels…

La question que je me pose maintenant est : Est-ce que ce danger existe en Tunisie ? Peut-être pas pour nos enfants qui n’ont pas encore la culture du t’chat… mais pour nos adolescentes ?

Vous savez que beaucoup d’adolescentes et de jeunes filles, de nos jours, font la connaissance de garçons –inconnus- sur Internet par qui elles sont séduites et qu’elles décident un jour de rencontrer… Or, il arrive, souvent, que ce « garçon » ne soit, en fait, qu’un adulte…un pervers, quelquefois, qui a menti sur son âge dans l’intention de séduire de jeunes innocentes…

Mais est-ce que le mal se limite à ce mensonge ? Est-ce qu’il y a, d’après vous, un risque, en Tunisie, qu’une telle rencontre puisse dégénérer en un acte de violence? Internet est-elle devenue, chez nous aussi, un outil pour ce genre de crimes ?

Vendetta !

Il était une fois un petit garçon de douze ans qui se promenait sur le trottoire, en traînant derrière lui une grenouille aplatie au bout d'une ficelle.

Il arriva devant un bordel et cogna à la porte.

La tenancière répondit et demanda au petit garçon ce qu'il voulait.

-Je veux une relation sexuelle avec une des filles. J'ai de l'argent pour payer et je ne partirai pas sans l'avoir fait.

La dame se dit pourquoi pas et le fit entrer.

-Avez-vous des filles avec des maladies ?

-Bien sûr que non, répondit la dame.

-J'ai entendu les hommes dire qu'il fallait recevoir une injection après avoir couché avec Irma. C'est elle que je veux...

Puisque le garçon y tenait tant et avait de l'argent, la dame lui dit d'aller dans la première chambre à droite.

Le garçon se dirigea vers la chambre en traînant derrière lui sa grenouille aplatie. Il ressortit dix minutes plus tard en traînant derrière lui sa grenouille aplatie, il paya la dame et s'en alla en traînant toujours derrière lui sa grenouille aplatie.

-Pourquoi as-tu choisi la seule fille avec une maladie ?

-Ce soir, mes parents vont souper au restaurant et me laisseront à la maison avec la baby-sitter. Après qu'ils seront partis, la baby-sitter va me faire l'amour parce qu'elle aime les petits garçons mignons. Elle va attraper la maladie que je viens d'attraper.

Quand mes parents reviendront, papa va aller reconduire la baby-sitter, il va la sauter dans l'auto et il va attraper la maladie à son tour. Quand papa va revenir, il va faire l'amour à maman et elle va l'attraper aussi

Demain matin, quand tout le monde sera parti, le laitier va venir à la maison baiser ma mère, il va attraper la maladie.

-Et alors ?

-C'est lui, l'enculé qui a écrasé ma grenouille ! ! !

Le Beau au bois dormant !

Pourquoi les contes de fées ont-ils tous la femme comme héroïne et non pas le contraire ? Pourquoi les contes ne s’appelleraient pas: le Beau au bois dormant, Cendrillo (bon ça ferait un peu chochotte…), le Beau et la bête (quoique… des beaux avec des mochetées on en voit souvent !!), et Blanc-Neige et les sept naines ?! (celui là existerait peut-être dans un autre genre… si vous voyez ce que je veuX dire…)

Les contes de fées sont destinés en fait aux filles…dès leur plus jeune âge elles se voient princesses, très belles, avec des robes somptueuses, sauvées et aimées par un prince charmant qui obéit à tous leurs désirs… idée et image qui ne les quitteront jamais !!

En même temps que voient les garçons ? Ils sont voués, les pauvres, à risquer leur vie en combattant de terribles monstres ou d’énormes dragons ou à passer des journées entières à faire essayer une chaussure à toutes les filles du village jusqu’à trouver celle de sa bien-aimée (imaginez l’odeur qu’ils doivent subir et le nombre de champignons qui se sont entassés dans cette chaussure !! Ne risquent-ils pas leur vie là aussi ?!) et quand tout va bien, à passer toute la nuit à danser, tirés à quatre épingles !! ( sachez que pour un garçon c’est un vrai calvaire !!)

Alors vous vous étonnez encore quand vous voyez les petits garçons s’acharner contre les filles en les frappant et en leur tirant les cheveux jusqu’au sang ? C’est que à cet âge là ils avaient déjà deviné l’arnaque et s’efforcent de se préserver de toute relation avec les filles !! Mais en grandissant… cet instinct de préservation s’estompe petit à petit pour laisser place à un autre instinct qui va prendre le dessus… l’instinct de procréation !!

Ainsi, le petit garçon devenu grand, tombé dans le piège de la relation « amoureuse », se voit reproduire le même schéma : Sa femme, une princesse qui exige de lui la vie dont elle a rêvé pendant toute son enfance et lui, en train de combattre un autre genre de monstres et de dragons dans son travail et à passer le week-end dans une autre sorte de village à essayer, dans ce cas, plusieurs chaussures pour un seul pied… celui de sa bien-aimée !!!

Mais là, c’était il y a quelques années, car ce schéma a bien évolué et le conte du «Beau au bois dormant» existe maintenant… En effet, de nos jours, et surtout dans les milieux pauvres, c’est l’homme qui passe sa journée à dormir dans la maison ou dans le café et c’est sa femme qui sort dès le matin combattre pour leur survie dans les usines ou les maisons des particuliers !!

Les voies de Dieu sont impénétrables !!

C’est l’histoire de deux anges, un vieux et un jeune, qui se sont introduits dans le monde des hommes déguisés en mendiants.

Ils frappent, d’abord, à la porte d’une riche demeure afin de demander asile. Le couple, visiblement contrariés par cette intrusion, se résigne, après beaucoup d’hésitation, à les laisser entrer. Malgré le luxe de leur maison et l’abondance de leurs biens, ils décident d’installer les visiteurs au sous-sol en leur donnant les restes du repas…

Or, au milieu de la nuit, sous les yeux ébahis du jeune ange, voilà que son mentor s’attelle à une étrange besogne. Il s’est mis à calfeutrer et à réparer les trous se trouvant sur un des murs de la cave. Malgré son grand étonnement, le jeune ange décide de ne rien dire.

Le lendemain, c’est chez un couple très démuni que les deux anges décident de s’inviter. Leurs hôtes possèdent, eux, une toute petite maison avec une seule chambre et ont, pour seul bien, une maigre vache. Par ailleurs, ces derniers accueillent leurs invités très chaleureusement et leur offre leur unique repas ainsi que leur unique lit.

Le réveil se fit, pourtant, avec les pleurs du jeune couple qui venait de perdre, pendant la nuit, leur seule ressource qui était cette vielle vache.

Devant cette injustice, le jeune ange révolté ne pouvait plus retenir sa colère : « Pourquoi ? Pourquoi ? Interroge-t-il le vieil ange. Pourquoi passer la nuit à réparer le mur du sous-sol du riche couple qui nous a si mal reçu et si mal traité et laisser mourir le seul bien de ses pauvres gens qui nous ont, eux, si généreusement accueilli ? »

Le vieil ange lui répond alors : « Sache mon petit qu’en réparant le mur du sous-sol j’ai empêché ces mauvaises gens de trouver, un jour, le trésor qui se cachait derrière. Quand à ces pauvres gens, si j’ai laissé leur unique vache mourir c’est parce que j’ai dû négocier avec la Mort qui allait, pendant la nuit, prendre la femme et laisser seul son mari qui l’aime tant »

Voilà donc une histoire que je me plais à raconter pendant les moments difficiles… ça peut aider quelquefois à mieux accepter la réalité… non ?

Le "grand" saut!

Ça y est je SAUTE… voilà… je viens de créer mon propre blog !!

Ce n’est pas que ça soit sorcier… loin de là… mais je trouve que décider de créer un blog c’est comme décider d’acheter ou d’adopter un chien… cela nous engage à bien nous en occuper, à bien le nourrir et surtout à ne pas le délaisser… ce n’est pas donc une décision qui se prend à la légère…

Il m’a fallu, moi, une année pour me décider… une année à errer entre les blogs… à participer… à comparer… à m’émerveiller, souvent, devant le génie de certains bloggueurs ou à m’indigner, quelquefois, devant la bassesse et la mesquinerie d’autres… ce sont, j’avoue, ces moments là qui m’ont le plus découragé et refroidi !

Mais voilà que ce soir…sur un coup de tête… j’ai décidé de me lancer… sans trop réfléchir pour ne pas fléchir !! Voilà c’est fait !

J’espère que je réussirai à marquer par ma propre empreinte…

Maintenant, après ce grand saut, j’ai une seule inquiétude… c’est de ne pas me casser la figure !!!